Le cinéma libanais après la guerre civile. Un cinéma mélancolique et urbain (de 1990 à nos jours)

2014 
Depuis la fin de la guerre civile libanaise en 1991, le cinema libanais decline le mal existentiel et le sentiment de melancolie d’une generation dont les personnages etrangers au monde comme a eux memes, sans reperes, font face a la repetition des violences, la separation, le deuil, ou l’exil, trainent leur mal-etre dans une ville en eternel chantier et ou les morts tels des fantomes reapparaissent d’entre les ruines. Entre un monde qui s’effondre et un passe qui s’efface, la melancolie habite ces films dont les recits fragmentes et eclates ne s’achevent jamais. Avec Ghassan Salhab, Michel Kammoun, Joanna Hadjithomas, Khalil Joreige, Mohammad Soueid, Danielle Arbid, Christophe Karabache, Wael Noureddine, Nigol Bezgian, Borhane Alaouie, Jocelyne Saab... un nouveau cinema s’invente.
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