Les deux visages de l’automne émersonien

2004 
L’auteur commente et traduit un passage du Journal d’Emerson et un fragment de son essai sur Montaigne, qui ont en commun la mise en scene de l’automne. Dans le passage du Journal, la prosopopee d’un champignon donne libre cours a l’exuberance du discours, tandis que dans le soliloque qu’Emerson prete a Montaigne, c’est un automne gris, sobre et retenu, qui parle et qui rappelle au lecteur la preeminence de l’experience sur l’imagination.
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