Travailler à Paris, vivre à 200 km : avec le TGV, c’est possible !

Cet article synthetise les principaux resultats d’une recherche qui a ete financee par le Ministere de l’ecologie, du developpement et de l’amenagement durables (Direction de la recherche et de l’animation scientifique et technique) dans le cadre du Predit.Elle porte sur les habitants de l’Indre et Loire qui travaillent ou etudient en Ile-de-France. Toutefois, les enseignements de cette monographie peuvent etre transposes sur des relations telles que Le Mans - Paris, Arras – Paris, Reims - Paris ou Châlons - Paris.Il a ete notamment question de repertorier les proportions de « mono-residants », qui effectuent des navettes quotidiennes, des « bi-residants » qui ont un pied-a-terre a Paris, et qui ont un rythme de deplacement moins soutenu. Une analyse comparee de cout generalise et d’emissions de gaz a effet de serre a ete ensuite entreprise, avant de s’interesser aux conditions de perennisation sur le long terme du choix effectue.