Etude de l'interaction fatigue-fluage dans un acier trois cent seize l sph a six cents degres centigrades. Influence d'un temps de maintien en tension par rapport a un temps de maintien en compression sur l'amorcage et la propagation des fissures dans les eprouvettes-structures

1991 
L'influence de temps de maintien en tension et en compression sur l'amorcage et la propagation des fissures en fatigue-relaxation est examinee dans des eprouvettes de flexion en acier trois cent seize l sph, a six cents degres centigrades. L'evolution des fissures est reconstituee grace a la strategie des essais interrompus, a l'aide de la technique du suivi electrique et par comptage de stries sur les surfaces de rupture. L'amorcage macroscopique est plus rapide du cote en tension pendant le maintien; l'amorcage microscopique, concernant des longueurs de fissure de l'ordre de la taille de grain, est identique en tension et en compression, dans le domaine qui a ete etudie. Les deformations experimentales sont calculees dans les eprouvettes de flexion au cycle stabilise, par differentes methodes. Une bonne prevision de l'amorcage macroscopique dans l'acier trois cent seize l sph peut etre faite a partir de donnees de la litterature concernant la rupture d'eprouvettes lisses en fatigue et en fatigue-relaxation, et des deformations calculees. Les vitesses de propagation dans les eprouvettes-structures sont estimees en fatigue continue, par utilisation de mesures d'interstries effectuees dans des eprouvettes de traction-compression, d'une part, et avec une approche basee sur une correction de plasticite dans l'expression des facteurs d'intensite de contrainte, d'autre part. On montre que les vitesses estimees avec ces deux methodes sont en bon accord avec les vitesses experimentales
    • Correction
    • Source
    • Cite
    • Save
    • Machine Reading By IdeaReader
    0
    References
    0
    Citations
    NaN
    KQI
    []