Effects of phenology and sex on social proximity in a gregarious ungulate

2013 
Structure in sociality is known to relate to intrinsic and extrinsic factors. Less understood are the mechanics of sociality expressed as fine-scale behaviours that maintain hierarchies, mediate competition, or transmit pathogens. A recent novel approach to quantifying fine-scale social behaviour has been to use proximity-logging biotelemetry collars. This technol- ogy continuously records data whenever collars are within a predefined distance of each other, at times of day, and in habitats where traditional ethological approaches to focal-individual sampling of behaviours are unfeasible. We tested a series of expectations on fine-scale (≤1.4 m) interaction rates and durations consistent with competing hypotheses of seasonal and sexual segregation for elk (Cervus canadensis Erxleben, 1777). Female-female dyads interacted 4 times more frequently than male-male dyads (mean interaction rate per year: female-female = 62 vs. male-male = 14; P < 0.001), and male-male interactions were 1.5 times longer in duration than female-female interactions (mean interaction length: female-female = 30 s vs. male-male = 45 s; P < 0.001). We propose that fine-scale interactions among members of a population can be modeled as a trade-off between the frequency (quantity) and the duration (quality) of interactions. Our results have implications for understanding sex-based differences in sociality in gregarious herbivores and for disease transmission, which may follow from social intercourse. Resume : Il est etabli que la structure dans la socialite est associee ades facteurs intrinseques et extrinseques. La mecanique de la socialite exprimee par l'entremise de comportements apetite echelle qui maintiennent les hierarchies, modulent la concur- rence ou transmettent des pathogenes est toutefois moins bien comprise. Une nouvelle approche de quantification des com- portements sociaux apetite echelle consiste autiliser des colliers de biotelemetrie qui enregistrent la presence d'autres individus situes aproximite. Cette technologie enregistre des donnees en continu quand des colliers se trouvent en decad'une distance donnee les uns des autres, ades heures du jour et dans des habitats ou les approches ethologiques traditionnelles d'echantillonnage des comportements al'echelle individuelle ne peuvent etre utilisees. Nous avons verifie un ensemble de predictions concernant la frequence et la duree d'interactions apetite echelle (≤1,4 m) correspondant ades hypotheses concur- rentes relativement ala segregation saisonniere et sexuelle du wapiti (Cervus canadensis Erxleben, 1777). La frequence des interactions de dyades femelle-femelle etait quatre fois plus grande que celle des interactions de dyades mâle-mâle (frequence annuelle moyenne des interactions : femelle-femelle = 62 contre mâle-mâle = 14; P < 0,001) et les interactions mâle-mâle etaient 1,5 fois plus longue que celle des interactions femelle-femelle (duree moyenne des interactions : femelle-femelle = 30 s contre mâle-mâle = 45 s; P < 0,001). Nous proposons que les interactions apetite echelle de membres d'une population peuvent etre modelisees en tant que compromis entre la frequence (quantite) et la duree (qualite) des interactions. Nos resultats ont une incidence sur la comprehension des differences basees sur le sexe sur le plan de la socialite des herbivores gregaires et pour la transmission de maladies pouvant decouler de rapports sociaux. (Traduit par la Redaction) Mots-cles : comportement, Cervus canadensis, maladie, wapiti, segregation sexuelle, socialite.
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