Si bien, desde un punto de vista teorico, las indicaciones geograficas (IG) pueden considerarse como bienes de club o recursos comunes, consideramos que el hecho de que las partes involucradas las consideren recursos comunes territoriales representa un factor esencial para su exito, a traves de la coordinacion entre actores y la articulacion con las dinamicas territoriales que implica. Sin embargo, a partir de estudios de caso en Asia, Africa y America Latina, mostramos la dificultad de implantar un modo de gestion apropiado, debido a la multiplicidad de objetos asignados a las IG, al posible desinteres de los actores si la valorizacion de las IG se ve incierta y, a la inversa, a las eventuales apropiaciones por parte de un grupo restringido cuando su valorizacion esta asegurada.
Over the last 50 years, censuses have shown very substantial increases in the estimated sizes of Aboriginal populations in settler states such as Canada. Since these increases cannot be explained by demographic factors alone, authors have proposed that, as the situation of Aboriginal people has been under increasing public scrutiny, it has become more socially acceptable to report that one is Aboriginal. This may be an explanation for increases between censuses that are conducted five or ten years apart, but is such an explanation plausible when comparing answers provided within six months of one another? This article explores the factors associated with short-term fluidity in Aboriginal identification. In order to do so, it uses Canadian data collected twice from among the same members of the defined “population of Aboriginal identity” over a six-month period, in 2006 and in 2011–2012. Close to a third of all Canadians who “identified” as Aboriginals in the Census long form or in the National Household Survey (NHS) changed their answers when asked the same question in the Aboriginal Peoples Survey (APS). Fluidity in identification depends on methodological factors such as mode of administration and question wording. It also depends on individual and contextual factors. Socioeconomic status and residence in an urban area or in specific regions of Canada are the main factors that differentiate the three groups analyzed here—the Fluid Indian/Métis, the New Métis and the New Indians—from the group that has a stable identification. In light of this finding, we think that statistics produced on Aboriginal peoples in Canada from the standard sources should be treated with some caution. Using the APS identification numbers, for example, instead of those of the Census/NHS would likely reduce the estimated differences between “non-Aboriginals” and “Aboriginals,” at least in terms of education.
Farm systems are exposed to predictable and unpredictable shocks and stresses. Such events may affect the functioning of farm systems and threaten their capacity to provide food in adequate quantities and sufficient quality. The capacity of farm systems to recover, reorganize, and evolve following external shocks and stresses is analysed within the framework of resilience theory. The SHARP (self-evaluation and holistic assessment of climate resilience of farmers and pastoralists) tool was developed to assess the resilience of farm systems to climate change in a participatory way. The SHARP was originally designed for developing countries. This paper outlines the process and changes made to adapt the tool for use in the Swiss farming context, including the challenges and trade-offs of the adaptation. Its first application in the Canton of Vaud provides insights on the levels of resilience to climate change for farmers in Switzerland. The results showed that of twenty-five farmers, “environment” and “market” are two groups of farm-system components where the farm systems are least resilient. The paper provides preliminary comments on agricultural systems in the west of Switzerland that could be explored further.
THIS REPORT DEALS MAINLY WITH THE SOCIAL, ECONOMIC AND POLITICAL ASPECTS OF LOCAL PLANNING RATHER THAN WITH ITS TECHNICAL AND ADMINISTRATIVE ASPECTS. HOWEVER, ATTENTION IS DRAWN TO ADMINISTRATIVE MEANS AT THE DISPOSAL OF LOCAL PLANNERS: CIRCULARS, DIRECTIVES AND REGULATIONS ISSUED BY CENTRAL ADMINISTRATIVE BODIES TO LOCAL AUTHORITIES.
Research to improve the quality of social surveys has shown that methodological factors have a significant impact on respondent cooperation. The research presented here is inspired by the sociology of work and studies the impact of interviewers' sense of motivation and “self-efficacy” in convincing respondents to answer surveys. To do so, a survey of interviewers working for three private pollsters was conducted during the Canadian federal election campaign of November 2000. The results indicate some evidence of relationships between motivation, sense of self-efficacy (and associated behaviour), and interviewer performance. However, some of the results could be better explained by differences in training. In addition, the lack of a better measure of performance may also explain the weakness of the results. Future studies should examine performance measurement and try take into account how performance changes over time. Surveys, Interviewers, Interviewer Performance, Interviewer Attitudes, Measurement of Interviewer Performance.
Cet article vise à établir une typologie des leaders de groupes verts du Québec à partir de variables d'attitudes témoignant des rapports du mouvement vert et de ces leaders aux institutions. Trois types de leaders se dégagent. Les « écologistes », plus radicaux, sont méfiants à l'égard de la science et de la technologie et acceptent que des sacrifices économiques soient faits pour améliorer la qualité de l'environnement. Ces leaders sont plus jeunes que les autres, ils militent en majeure partie dans des groupes montréalais et ils favorisent le développement de l'énergie éolienne. Quant aux « environnementalistes nationalistes » et aux « environnementalistes de marché », ils se distinguent surtout par des positions divergentes à l'égard d'Hydro-Québec. Les premiers perçoivent positivement cette société d'État, alors que les seconds la voient d'un mauvais œil et en favorisent la privatisation.
Un examen de l'efficacité de la formation complémentaire pour les interviewers d'equêtes téléphoniques : Cet article présente une expérience faite à l'agence d'enquêtes responsable pour l'enquête canadiennne de 2004 sur la consommation de drogues (N=14.000) après une courte séance de formation cognitive. Un total de 79 interviewers y ont participé représentant 2.436 journées-interviewer de travail, avec des interviewers travaillant un maximum de 65 jours :l'enquête de terrain a duré 109 jours. Nous avons conçu une séance d'une heure centrée sur l'acquisition des connaissances dans deux secteurs : l'échantillonnage et la sélection dans le foyer d'une part, et les raisons de refus d'autre part. L'évolution quotidienne des performances des interviewers, dont les trajectoires basés sur des groupes ont été analysées, nous ont permis d'identifier les interviewers à performances basses (n=25) et hautes (n=42) deux semaines avant la formation. La séance de formation était à l'intention des interviewers à performances basses ou des nouveaux interviewers. Parmi ces interviewers, tous ceux qui travaillaient le jour de la séance (n=18) ont participé à l'une des trois séances de formation. Les retombées de la formation ont été évaluées dans trois secteurs : connaissances acquises et attitudes (via une questionnaires rempli deux semaines plus tard), rétention de connaissances et performances. Les résultats montrent pour les interviewers participants (a) qu'ils trouvaient que la formation les avaient aidés à comprendre l'échantillonnage et les raisons de refus, (b) qu'ils sentaient plus que les interviewers à hautes performances que leur performances s'étaient améliorées depuis le début du projet, (c) qu'ils avaient tendance à continuer plus longtemps à travailler sur les projet qu'un groupe de contrôle, et (d) qu'ils ont amélioré leur performance de .04 par jour après la formation, par rapport à.015 par jour avant la formation, atteignant presque la performance des interviewers à hautes performance
La prise en charge precoce de la deglutition post AVC est necessaire. Lorsqu’un patient est suspecte de dysphagie apres le bilan clinique, un examen complementaire est conseille : la nasofibroscopie de deglutition ou le radiocinema de deglutition. Ce travail vise a determiner si le radiocinema est a privilegier dans la prise en charge initiale de la dysphagie post AVC. Nous avons etudie le cas d’une patiente en phase aigue d’un AVC hemispherique. Nous avons confronte les mecanismes physiopathologiques et les recommandations therapeutiques respectivement issus de la nasofibroscopie de deglutition et du radiocinema de deglutition. Les resultats indiquent que le radiocinema permet une comprehension des troubles superieure. Les recommandations des deux examens sont globalement similaires. Neanmoins, le radiocinema est plus performant pour planifier la reeducation. Elle n’est cependant pas une priorite car les troubles regressent spontanement. Par ailleurs, les autres troubles associes aux sujets a la phase initiale d’un AVC et les restrictions inherentes au radiocinema limitent l’acces a cet examen. Le radiocinema n’est ainsi pas un examen a realiser en premiere intention a la phase initiale d’un AVC. Il parait plus approprie de l’indiquer en seconde intention, lorsque les troubles persistent.