F. Vié Le Sage

Association Française de Pédiatrie Ambulatoire

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Robert Cohen

Association Clinique et Thérapeutique Infantile du Val de Marne

J. Gaudelus

Hôpital Jean-Verdier

Nathalie Gelbert

Association Française de Pédiatrie Ambulatoire

Corinne Lévy

Association Clinique et Thérapeutique Infantile du Val de Marne

Olivier Romain

CY Cergy Paris Université

Stéphane Bechet

Association Clinique et Thérapeutique Infantile du Val de Marne

G. Thiébault

Association Française de Pédiatrie Ambulatoire

Catherine Weil-Olivier

Université Paris Cité

E. Grimprel

Sorbonne Université

Véronique Dufour

Infosys (France)

Cooperative Institutions

Assistance Publique – Hôpitaux de Paris

Inserm

Université Paris Cité

Association Française de Pédiatrie Ambulatoire

Société Française de Cardiologie

Association Clinique et Thérapeutique Infantile du Val de Marne

Sorbonne Université

Sorbonne Paris Cité

Hôpital Intercommunal de Créteil

Centre National de la Recherche Scientifique

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Research Field

Public health impact of Infanrix hexa™ (DTPa-HBV-IPV/Hib) reimbursement: A study programme in France. Part 1: Evolution of hepatitis B vaccine coverage rates in infants aged less than 27 months, in the general population – the PopCorn study

Revue d Épidémiologie et de Santé Publique (2015)

J. Gaudelus F. Vié Le Sage Véronique Dufour F. Lert Nathalie Texier

Reimbursement

Hepatitis B vaccine

Hepatitis B

Hepatitis A vaccine

10.1016/j.respe.2015.11.007

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Citations (4)

Intérêt du Breastfeeding Assessment Score pour la prédiction du sevrage précoce de l'allaitement maternel en France

Archives de Pédiatrie (2007)

Laurent Laborde Julie Fulcheri Nathalie Gelbert-Baudino Camille Schelstraete Marcel Mathieu

10.1016/j.arcped.2007.03.031

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Citations (14)

Le vaccinateur et la politique : être assis entre deux chaises n’est pas toujours confortable

Les Tribunes de la santé (2019)

F. Vié Le Sage Nathalie Gelbert Robert Cohen Rémy Assathiany

La société française, plus que d’autres, impose à ses enfants une entrée précoce en collectivité, source d’infections potentielles au moment où ils sont les plus vulnérables et alors que le taux d’allaitement est un des plus mauvais d’Europe. Une protection vaccinale optimale y est donc encore plus indispensable qu’ailleurs. Notre population a pourtant le record du monde de l’hésitation vaccinale (41% vs 13 %) 1 . Les textes réglementaires et législatifs sont probablement le reflet des ambiguïtés de cette société et mettent depuis longtemps le vaccinateur dans une situation inconfortable. L’article L. 3111-1 du code de la santé publique (CSP) dispose que « la politique de vaccination est élaborée par le ministre chargé de la santé qui fixe les conditions d’immunisation, énonce les recommandations nécessaires et rend public le calendrier des vaccinations après avis de la Haute autorité de santé » . Les textes règlementaires rendent le vaccinateur responsable de l’application des recommandations officielles de santé, en particulier celle de faire respecter le calendrier vaccinal, tout en lui imposant de préserver le libre choix du patient. La situation du médecin de l’enfant est particulièrement ambiguë : l’enfant étant considéré « en incapacité de décision », ce libre choix éventuel n’est pas le sien mais celui de tierces personnes, ses parents.

10.3917/seve1.058.0081

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Plaidoyer pour un avancement de l'âge de la vaccination contre les papillomavirus en France Position du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique (GPIP) et de l'Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA)

Robert Cohen F. Vié Le Sage Catherine Weil-Olivier Olivier Romain Isabelle Hau

Human papillomavirus vaccine

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Citations (1)

Chlamydia

Elsevier eBooks (2018)

G. Pinto-Cardoso S. Boyer F. Vié Le Sage D. Pinquier

10.1016/b978-2-294-75971-0.00044-4

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Depuis le nouveau calendrier vaccinal, les rattrapages sont-il simplifiés?

Archives de Pédiatrie (2015)

Olivier Romain F. Vié Le Sage Véronique Dufour E. Grimprel N. Guérin

Parenchyma

Leptomeninges

Perivascular space

10.1016/s0929-693x(15)30013-0

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La vaccination rotavirus en 2012. Position du Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique (GPIP) et de l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA)

Archives de Pédiatrie (2012)

M.-A. Dommergues J. Gaudelus Catherine Weil-Olivier G. Thiébault F. Vié Le Sage

10.1016/s0929-693x(12)71290-3

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Citations (6)

Impact des recommandations sur la prescription en consultation de ville d’antibiotiques à l’enfant

Archives de Pédiatrie (2015)

Aurélie Sellam Pierre Chahwakilian Robert Cohen Stéphane Bechet F. Vié Le Sage

10.1016/j.arcped.2015.03.003

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Citations (9)

Surveillance of noninvasive group A Streptococcus infections in French ambulatory pediatrics before and during the COVID-19 pandemic: a prospective multicenter study from 2018-2022

International Journal of Infectious Diseases (2023)

Jérémie F. Cohen Alexis Rybak A. Werner Fabienne Kochert Fabienne Cahn-Sellem

We evaluated the burden of noninvasive group A Streptococcus (GAS) infections in ambulatory pediatrics before and during the COVID-19 pandemic in France.We analyzed data from a national network of ambulatory pediatricians between 2018 and 2022. Clinicians evaluating children ≤15 years old for tonsillopharyngitis, perianal infections, paronychia/blistering dactylitis, and scarlet fever were invited to perform a rapid antigen detection test (RADT) for GAS. Monthly incidence of noninvasive GAS infections per 10,000 visits was modeled using time series analysis, considering two breakpoints: March 2020 (first national lockdown) and March 2022 (end of mandatory mask-wearing in schools).Over the study period, 125 pediatricians recorded 271,084 infectious episodes. GAS-related illnesses represented 4.3% of all infections. In March 2020, the incidence of GAS diseases decreased by 84.5% (P <0.001), with no significant trend until March 2022. After March 2022, the incidence significantly increased (+23.8% per month, P <0.001), with similar patterns across all monitored GAS-related diseases.By using routine clinical data and RADTs, we have monitored changes in the incidence of noninvasive GAS infections in ambulatory pediatrics. COVID-19 mitigation measures have had a major impact on the epidemiology of noninvasive GAS infections, but their relaxation was followed by a surge above baseline levels.

Pandemic

10.1016/j.ijid.2023.06.003

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Citations (14)

Vaccination contre les infections à méningocoque C

Journal de Pédiatrie et de Puériculture (2020)

Robert Cohen Isabelle Hau F. Vié Le Sage

Les infections invasives à méningocoque sont des infections rares mais graves. Le sérogroupe C est le deuxième sérotype en termes d’incidence. Dans de nombreux pays ayant introduit la vaccination anti-méningococcique C conjuguée dans leur calendrier vaccinal, une réduction supérieure à 95 % de ces infections a été observée. Quand la couverture vaccinale est élevée, notamment chez les adolescents, cette vaccination protège également les populations non vaccinées par un effet d’immunité de groupe. Les vaccins anti-méningococciques C conjugués sont commercialisés depuis 17 ans et sont bien tolérés, ils sont maintenant inclus dans les calendriers vaccinaux de nombreux pays dans le monde. En France, le vaccin contre le méningocoque C fait partie des vaccins obligatoires pour tous les nourrissons avec une 1re dose à l’âge de 5 mois et un rappel à 12 mois. La vaccination est également recommandée pour tous les enfants, adolescents et jeunes adultes non encore vaccinés jusqu’à l’âge de 24 ans révolus. InfoVac recommande un rappel pour tous les enfants à l’âge de 11–13 ans avec un vaccin ACYW conjugué. Invasive meningococcal diseases are rare but serious infections. Serogroup C is the second serotype in terms of incidence. In many countries that have implemented meningococcal C conjugate vaccination into their vaccination schedules, a reduction of more than 95% of these infections has been observed. When immunization coverage is high, especially among adolescents, this vaccination also protects unvaccinated populations with a strong herd effect. Meningococcal C conjugate vaccines have been on the market for 17 years and are well tolerated. They are now included in the vaccination schedules of many countries around the world. In France, the meningococcal C vaccine is one of the mandatory vaccines for all infants with a 1st dose at 5 months of age and a booster at 12 months of age. Vaccination is also recommended for all children, adolescents and young adults not yet vaccinated up to the age of 24. InfoVac recommends a booster for all children aged 11–13 years with an ACYW conjugated vaccine.

10.1016/j.jpp.2019.12.002

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