Between 1950 and 1960 mitochondria were recognized as well-characterized organelles of animal and fungal cells. They shared more functional autonomy than other cellular structures. The transmission of some mitochondrial characteristics did not obey Mendelian rules and followed cytoplasmic inheritance patterns. Was this situation a consequence of still unknown complexities? We present a personal account on how approaches were set up to test very different hypotheses. In the end, it was shown that mitochondria had their own DNA, mitochondrial DNA, and that this molecule carried information specific to these organelles.
le corps dogmatique des connaissances « historiques » ne permettait d'anticiper que de façon très schématique les variations, régulations, différenciations ou développements (le Verbe ne serait-il qu'approximatif ?). Et la saga de l'ADN se poursuit.Elle fait même espérer une médecine personnalisée.Chacun pourrait vivre en perpétuelle bonne santé (qu'en dit le Verbe ?)…Bertrand Jordan a vécu les cinquante années trépidantes de cette histoire.Il les raconte avec passion.Il présente en même temps au lecteur la façon dont il a oeuvré dans ce mouvement de la connaissance : d'une position de jeune chercheur sûr de lui à celle de responsable scientifique national (programme génome humain) et à celle de chroniqueur pour médecine/sciences.La carrière de l'auteur s'est ainsi développée autour de l'objet unique : l'ADN.Nombre de chercheurs en biologie et médecine ont vécu une expérience semblable.Dans cet ensemble de compagnons, de compétiteurs et d'associés, Bertrand Jordan a tracé un chemin original en s'imposant plusieurs réorientations alors que l'exploitation d'un filon scientifiquement intéressant, administrativement et politiquement reconnu, eût été plus confortable (ARN 5S ou gènes HLA).La présentation des choix successifs (anticipations nécessaires, décisions, conséquences à assumer) donne un grand intérêt au livre et permet d'apprécier l'esprit rationnel de l'auteur.Ceux qui ont aussi vécu cette histoire de l'ADN se sentent incités à revenir sur leurs propres activités, sur leurs choix : exercice salutaire… Au fil de l'histoire de l'ADN, encore, le lecteur découvre l'importance qu'ont pris, dans son déroulement comme dans la pensée de l'auteur, les allers et retours entre connaissances et technologies.Dans le rapide progrès de la biologie moléculaire, les premières ont
Abstract Part of the mitochondrial 16S-ribosomal RNA gene (around 400 nucleotides) of Penaeus notialis and Penaeus schmitti has been amplified and sequenced. The comparison of sequences reveals an 11% nucleotide divergence between the two species. When compared with that of the homologous fragment in Artemia salina and Drosophila yakuba, the secondary structure appears well conserved in spite of high nucleotide divergence due to numerous substitutions and additions/deletions. Sequences have been obtained for six individuals of P. notialis belonging to the same population, their comparison shows a 0.7% nucleotide diversity.
To determine and compare the efficacy of Kakrasingi (Pistacia integerrima J.L. Stewart ex Brandis) with metronidazole in bacterial vaginosis (BV).A randomized (1:1) standard controlled, single-center study was conducted in diagnosed patients (n = 62) of BV. The intervention group (n = 31) and standard group (n = 31) received orally, the gall of P. integerrima powder (1 g) and metronidazole (400 mg) respectively twice a day for 7 days. The primary efficacy endpoint included clinical cure as assessed by Amsel’s criteria evaluated at the test of cure visit (day 14–18). The secondary efficacy endpoints were a microbiologic cure (considered as a Nugent score of 0–3), therapeutic cure (includes both clinical and microbiologic cure) evaluated at the test of cure visit (day 14–18), and vaginal symptoms scale (VSS) at day 14–18, 21–24, and 30–34 and safety profile. The data were statistically inferred by the parametric and non-parametric tests with a 5 % level of significance and a 95% confidence interval.The clinical, microbiological, and therapeutic cure rates were 54.83 %, 51.61 %, and 51.61 % for the intervention and 51.61 %, 45.16 %, and 45.16 % for the control group. The comparison showed no significant difference in clinical (p = 0.88), microbiological (p = 0.93), and therapeutic cure rates (p = 0.93). The VSS mean score on days 14–18 was 3.67 ± 2.90 and 4.22 ± 2.61 in the intervention and control groups respectively, moderately statistically more significant (p = 0.03) in the intervention than in the control group.P. integerrima showed a similar effect as metronidazole in treating BV with no adverse effects.
