Léa Bordes

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

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Philippe Jacquiet

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

Christelle Grisez

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

Françoise Prévot

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

Camille Beaumelle

Laboratoire de Biométrie et Biologie Evolutive

Sophie Jouffroy

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

Gilles Bourgoin

VetAgro Sup

Glenn Yannic

Université Grenoble Alpes

Mathieu Beurier

Fondation Pour la Recherche Sur la Biodiversité

Justine Ginot

VetAgro Sup

Marie‐Thérèse Poirel

Université Claude Bernard Lyon 1

Cooperative Institutions

École Nationale Vétérinaire de Toulouse

Université de Toulouse

Institut National de Recherche pour l'Agriculture, l'Alimentation et l'Environnement

Institut de l’Elevage

Interaction Hôtes Agents Pathogènes

Institut National Polytechnique de Toulouse

Génétique Physiologie et Systèmes d'Elevage

Centre National de la Recherche Scientifique

Université Claude Bernard Lyon 1

Institut National de la Recherche Agronomique

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Research Field

First report of multiple resistance to eprinomectin and benzimidazole in Haemonchus contortus on a dairy goat farm in France

Parasitology International (2020)

Léa Bordes Nicolas Dumont Anne Lespine Elise Souil Jean‐François Sutra

Moxidectin

Benzimidazole

Doramectin

10.1016/j.parint.2020.102063

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Estimer les infections à Eimeria spp. en atelier d’engraissement d’agneaux à l’aide d’analyses coprologiques de mélange et de litière

Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé (2024)

Léa Bordes Christelle Grisez Nais Droillard E. Dumas Fabien Corbière

La coccidiose ovine est une problématique importante dans les systèmes d’engraissement. Son contrôle repose sur l’utilisation d’anticoccidiens, à administrer après diagnostic selon la nouvelle réglementation européenne. Or, les méthodes de diagnostic individuelles sont coûteuses et chronophages. Dans cette étude, nous avons développé l’utilisation d’analyses coprologiques de mélange de 5 prélèvements d’animaux, ainsi que des analyses coprologiques sur litière souillée. L’essai a été réalisé dans un atelier d’engraissement, suivi de manière hebdomadaire durant presque deux mois, sur 2 loges, en prélevant individuellement 50 agneaux par loge et trois échantillons de litière par loge. Les trois méthodes de diagnostic (individuelles, de mélange de 5 échantillons individuels et d’échantillons de litière) ont présenté de fortes corrélations en termes d’intensité d’excrétion des oocystes de coccidies, mais également dans les proportions d’espèces pathogènes. Ces résultats démontrent qu’il est possible de suivre les infections des animaux par les coccidies avec ces deux nouvelles méthodes d’échantillonnage et d’avoir une représentation fiable de la prévalence de l’infection, mais également de son intensité au sein d’un lot d’animaux. Ainsi, ces deux méthodes permettent d’alléger le coût du diagnostic, mais également de réduire le temps passé sur le chantier de prélèvement et au laboratoire.

10.1051/npvelsa/2024029

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Asymptomatic Cryptosporidium infections in ewes and lambs are a source of environmental contamination with zoonotic genotypes of Cryptosporidium parvum

Parasite (2020)

Léa Bordes Pauline Houert Damien Costa Loïc Favennec Corinne Vial-Novella

Protozoan parasites of the Cryptosporidium genus cause severe cryptosporidiosis in newborn lambs. However, asymptomatic infections also occur frequently in lambs and ewes. In sheep, the most commonly detected Cryptosporidium species are C. ubiquitum , C. xiaoi and C. parvum. Due to a lack of relevant information about such infections in France, we investigated the situation on five dairy sheep farms in the Pyrénées-Atlantiques Department in south-western France in December 2017. Individual fecal samples were collected from 79 female lambs (5–17 days old) and their mothers (72 ewes). Oocysts were screened using Heine staining before and after Bailenger concentrations. Cryptosporidium species identification and genotyping were performed using real-time PCR and gp60 gene sequencing. No cases of clinical cryptosporidiosis were observed in the 79 lambs. Microscopically, Cryptosporidium spp. oocysts were observed in only one lamb on one farm (prevalence 1.3%) and one ewe on another farm (prevalence 1.4%). By contrast, Cryptosporidium spp. DNA was detected in 17 ewes (prevalence ranging from 10.5% to 50% depending on the farm) and in 36 lambs (prevalence ranging from 0% to 77.8% depending on the farm). Only zoonotic Cryptosporidium parvum IId and IIa genotypes were identified when genotyping was possible. Cryptosporidium ubiquitum and C. xiaoi were detected on one and three farms, respectively. We conclude that healthy young lambs and their mothers during the peripartum period could be a source of environmental contamination with oocysts.

Cryptosporidium parvum

Zoonosis

10.1051/parasite/2020054

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Cross-transmission of resistant nematodes between wild ibex and transhumant sheep in French Alps

Gilles Bourgoin Camille Beaumelle Carole Toïgo Rodolphe Papet Slimania Benabed

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Multirésistances aux anthelminthiques chez les strongles digestifs des petits ruminants du sud de la France

Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé (2020)

Léa Bordes Anaëlle Desmolin Sébastien Greil Aline Richelme Maxime Eichstadt

En élevage ovin et caprin, le contrôle des strongles gastro-intestinaux repose sur les molécules anthelminthiques dont l’usage répété a favorisé l’apparition de populations résistantes. Entre 2016 et fin 2019, l’UMT Santé des Petits Ruminants a réalisé des évaluations de la résistance dans des élevages du sud de la France. Quatre enquêtes ponctuelles concernant chacune un seul élevage dans lequel le vétérinaire praticien suspectait une résistance aux anthelminthiques et sept enquêtes, plus larges, comprenant plusieurs élevages d’une même zone ont été menées. La résistance a été évaluée avec un test de réduction de l’intensité d’excrétion d’œufs post-traitement et les espèces ayant résisté à un traitement ont été identifiées par PCR temps réel. Trois populations d’H. contortus multirésistantes aux benzimidazoles et à une avermectine (doramectine, éprinomectine ou ivermectine) et une population de Teladorsagia circumcincta multirésistante aux benzimidazoles, au lévamisole, à l’ivermectine et à la moxidectine ont été détectées dans les enquêtes ponctuelles dans les Pyrénées Atlantiques et les Hautes Pyrénées. Les enquêtes de zone dans les Alpes de Haute Provence et en Ariège n’ont mis en évidence que des résistances aux benzimidazoles mais dans le Limousin et les Hautes Pyrénées, des multirésistances benzimidazoles, lévamisole et lactones macrocycliques sont présentes. Ces résultats appellent une reconsidération de la lutte contre ces parasites en élevage de petits ruminants.

10.1051/npvelsa/46007

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Sélection génétique pour la résistance au parasitisme en caprins (projet TEPACAP)

Philippe Jacquiet Clément Brosse Léa Bordes Virginie Clément P. Olivier

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Reduced efficacies of diclazuril and toltrazuril against Eimeria ovinoidalis and Eimeria crandallis in two French sheep-meat farms

Research Square (Research Square) (2022)

Léa Bordes Agathe LeChenadec Corentin Souchon Adeline Berger Alice Claessens

Abstract Background: Lamb coccidiosis, caused by intestinal parasites of the Eimeria genus, has pronounced health and economic impacts throughout the world. Eimeria ovinoidalis and Eimeria crandallis are the most pathogenic species in sheep. Control of these parasites requires the use of anticoccidial drugs such as sulfonamides, diclazuril, and toltrazuril. In this study, resistance to anticoccidial drugs was suspected in two farms as clinical signs (diarrhea) persisted after treatment. Method: On each farm, 4.5-month-old rams were divided into three groups so that they were either (i) left untreated (Control group), (ii) treated with diclazuril (1 mg/kg body weight), or (iii) treated with toltrazuril (20 mg/kg body weight). Animals were treated at day 0 (D0) and fecal samples were collected at D0 and eight days later (D8) to evaluate the reduction in intensity of Eimeria oocyst excretion. Oocyst morphology and morphometry were used to identify Eimeria species at both sampling dates. Results: Reduction of oocyst shedding was incomplete in both farms (92.44% and 93.58%) after diclazuril treatment. More specifically, the efficacy was reduced in both farms for E. ovinoidalis/Eimeria marsica (92.59% and 91.87%) and E. crandallis/Eimeria weybridgensis (75.34% and 80.10%). The general efficacy of toltrazuril was high in both farms (97.6% and 97.96%). However, a slightly reduced efficacy was noted in farm 1 for E. crandallis/E. weybridgensis (93.26%) while this efficacy was high in farm 2 (98.88%). Conclusions: We suggest a simple protocol to investigate the efficacy of anticoccidial treatments in sheep and to rapidly identify potentially resistant species. In these two farms, treating animals with diclazuril will select pathogenic species, and toltrazuril could favor resistant E. crandallis/E. weybridgensis in one of them.

10.21203/rs.3.rs-1350794/v2

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A new real-time PCR method for identification of two pathogenic Eimeria species in sheep, Eimeria ovinoidalis and Eimeria crandallis

Léa Bordes Christelle Grisez Françoise Prévot Didier Marcon Sophie Allart

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Impacts du pâturage cellulaire sur la dynamique des populations de Nématodes parasites du tube digestif chez les ovins

Le Nouveau Praticien Vétérinaire élevages & santé (2021)

Claire Ruiz-Huidobro Françoise Prévot Laurence Sagot Cécile Valadier Sophie Lugagne